Philippe Sereni,
ostéopathe à Paris ...

Après l’obtention de son Diplôme d’Etat de Masso-Kinésithérapie en 1979, il étudie l’ostéopathie à l’Institut Walt Garner Sutherland (IWGS). Militant actif depuis 1980 pour défendre la cause de l’ostéopathie et obtenir sa reconnaissance en tant que profession pleine et entière, il intègre le bureau de l’Association de Thérapie Manuelle (ATM). Cette association sera abandonnée car sa dénomination ne peut servir la cause de l’ostéopathie.

Dans le même temps, il travaille en tant que kinésithérapeute libéral dans son cabinet du XIII° arrondissement et fait des vacations comme remplaçant à l’Opéra National de Paris auprès des danseurs Etoiles et du Corps de Ballet. Durant cette période il rencontre Rudolph Noureev, qui, nommé Directeur en 1983, lui demande de venir travailler à l’ONP d’une manière définitive. Il cesse l’exercice libéral de la kinésithérapie et développe l’ostéopathie dans sa pratique quotidienne à l’Opéra.

En 1986, il ouvre son premier cabinet dans le IX° arrondissement en tant qu’ostéopathe libéral et exclusif.

En 1989, avec d’autres confrères convaincus comme lui que la voie suivie à cette époque par les ostéopathes ne peut aboutir dans un « Etat de Droit », il est co-fondateur du premier syndicat professionnel pour la défense des ostéopathes et de l’ostéopathie. Ce syndicat qui a connu différentes étapes dans son histoire est aujourd’hui le Syndicat National des Ostéopathes de France.

En 1990, il s’installe 98 boulevard des Batignolles 75017.

Durant les années 90, il se partage entre son activité libérale, son exercice à l’Opéra, la défense de l’ostéopathie et des séminaires d’études et de formation.

En 2002, la loi Kouchner sur les droits du malade reconnait l’ostéopathie et lui permet donc de faire évoluer son statut au sein de l’ONP, pour officialiser son rôle en tant qu’ostéopathe. Les décrets d’application de la loi étant publiés au Journal Officiel le 27 mars 2007. Il voit son titre officiellement enregistré à la Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales (DRASS) en 2008.

Après plus de vingt cinq ans d’exercice, il continue à faire profiter ses patients, danseurs et non danseurs, de son savoir faire technique et pratique, acquis avec précision dans le milieu professionnel de la danse de haut niveau qui lui confère une réelle compétence, en particulier dans le domaine des traumatismes liés aux activités sportives…